Les positions du 85e bataillon le 1er septembre 1918, au Sud de Haucourt. On voit les tranchées Cable et Olive. La route Arras-Cambrai croise le coin droit, en haut. On est sur le territoire de Haucourt.
Les positions du 38e bataillon le 1er septembre 1918, juste au Sud du 85e bataillon. On voit la tranchée Ostrich. On est sur le territoire de Vis-en-Artois.
Les positions du 72e bataillon le 1er septembre 1918, juste au Sud du 38e bataillon. On voit la tranchée Ostrich à la jonction de la tranchée Orix. On est sur le territoire de Vis-en-Artois.
Le front des 85e, 38e et 72e bataillons canadiens le 1er septembre 1918. Claude Nunney a mérité sa Victoria Cross dans ce champ. Le 2 septembre, ces trois bataillons ont traversé la route Arras-Cambrai en diagonale et ont investi la ligne Quéant-Drocourt et la commune de Dury, mais cette histoire sort du contexte de ce livre. (GOOGLE)
La vallée de la Sensée et la ligne Fresnes-Rouvroy et le point-fort Ocean work, depuis la route D9 (route Chérisy-Vis). À l’horizon on voit le château d’eau de Haucourt sur la route Arras-Cambrai. Le 8e bataillon a combattu ici le 31 août 1918. Ce sont aussi les positions des 85e, 38e et 72e bataillons le 1er septembre 1918, au-delà de la Sensée sur la pente, à droite. Les 20e et 21e bataillons de la 2e division canadienne ont été massacrés ici le 28 août 1918 en tentant de traverser la Sensée et de monter la pente que vous voyez. (Photo Maxime Martin)
Le champ de bataille du Wellington le 1er septembre 1918. Il a rejoint la tranchée Pear lane, au centre. C’est l’approche à la ligne Quéant-Drocourt, dont on peut deviner une tranchée à droite. Le 2 septembre 1918, suite à une relève, la 4e division canadienne attaquera des ces positions pour investir la ligne Quéant-Drocourt.
Le front de la 1ere division canadienne le 1er setembre 1918. On devine le bois Upton wood (bois d’Hendecourt) en haut à gauche. Le 5e bataillon canadien a avancé le long de la Vis-en-Artois switch (embranchement de Vis-en-Artois) en haut, le 14e bataillon canadien a capturé la tranchée Hans alley, le 15e bataillon canadien a capturé le mont d’Hendecourt (un point-fort critique, point 1 sur la carte) et la 57e division britannique de la 3e armée britannique a libéré Hendecourt.
Le front de la 1ere division canadienne le 1er septembre 1918. On devine le mont d’Hendecourt dans le rond 1. Le point 2 est le cimetière Upton wood. (GOOGLE)
Le monument au 15e bataillon (48th Highlanders) pour leur action du 1er septembre 1918 au mont d’Hendecourt. (Photo Aurélien Goubet)
Le mont d’Hendecourt avec le monument au 15e bataillon. Ce terrain appartient à la famille Marquaille de Hendecourt et elle a gracieusement offerte le monument au régiment pour la postérité. Pour plus sur le mont d’Hendecourt, consultez mon livre ‘Une Military Cross à Arras’ et un film complémentaire, disponible dans la boutique. (GOOGLE)