Appendice 8

Le panneau indicateur de ‘la voie sacrée du Canada’ à Vis-en-Artois. Je suis fier que le panneau a été inspiré de mon ouvrage 'D'Arras à Cambrai, par le chemin le plus long' et la 'Highway of Heroes' au Canada. M. Philippe Degroote est l'instigateur du projet et sera décoré pour ses efforts.
(Photo Ph. Degroote)

Des personnalitées lors de l’inauguration de la 'voie sacrée du Canada'. (Photo Sophie Santy)

Un cortège militaire funèbre lors de la guerre en Afghanistan, sur l’autoroute 401 entre la base aérienne de Trenton et la morgue militaire à Toronto, Canada. Chaque fois qu’un cortège passait, il y avait des manifestations sur les ponts. Ce bout de chemin a été baptisé ‘The Highway of Heroes’, ce qui a inspiré la 'voie sacrée du Canada' à Vis-en-Artois. (photo The Toronto Sun)

Le gouvernement canadien a inauguré deux monuments sur la route Arras-Cambrai. Le premier est le monument national canadien de Dury sur la route Arras-Cambrai, qui commémore la participation canadienne aux batailles de la Scarpe, 1918 et de la ligne Quéant-Drocourt (2e bataille d’Arras de 1918, 26 août-3 septembre 1918). (Photo Ph. Degroote, mars, 2021)

L’inscription en Français du monument national canadien à Dury :
‘L’armée canadienne attaqua l’ennemi à Arras le 26 août 1918, enfonça successivement toutes les positions allemandes, puis brisa ici même la fameuse ligne Quéant-Drocourt réputée imprenable et avança jusqu’au canal du Nord.’

Le deuxième monument national canadien le long de la route Arras-Cambrai, le monument du bois de Bourlon, commémore la traversée du canal du nord du 27 septembre 1918, les libérations de Cambrai, Denain, Valenciennes et Mons, Belgique, incluant la traversée du Rhin, en Allemagne, le 13 décembre 1918. L’inscription est comme suit : ‘Le 27 septembre 1918, l’armée canadienne franchit le canal du nord et conquit cette hauteur. Elle prit Cambrai, Denain, Valenciennes & Mons : Puis avança jusqu’au Rhin avec les Alliés victorieux.’

Le cimetière Vis-en-Artois à Haucourt, en 1919, dans son état primitif. (Collection Michel Gravel)

Le cimetière et mémorial Vis-en-Artois, à Haucourt, le 2 mars 2021. Sur le mémorial, qui est à l'arrière du cimetière, sont gravés les noms de 9 843 soldats britanniques et sud-africains, disparus en Picardie et en Artois, entre le 8 août et le 11 novembre 1918. Plusieurs disparus de Rémy et Haucourt sont sur le mémorial. Les noms de tous les canadiens disparus en France sont gravés sur le monument de Vimy. (Photo Ph. Degroote)

La manifestation pour le centenaire de la libération de Haucourt, septembre 2018, au cimetière et mémorial Vis-en-Artois à Haucourt. (Photo de l’auteur)

Le cimetière et mémorial Vis-en-Artois à Haucourt, sur la route Arras-Cambrai. La Sensée est sur la gauche. Le cimetière a été établi à la suite de la libération de Haucourt, probablement le 5 septembre 1918. (GOOGLE)

La stèle dans le cimetière Vis-en-Artois à Haucourt, du soldat Louis Murray du 38e bataillon canadien. Il a été tué par un obus vers 17 h 00 le 1er septembre 1918, sur le territoire de Vis-en-Artois au Sud de la route Arras-Cambrai. Il partage sa stèle avec le soldat Edward Louis Montri, qui lui était avec la section des transports de la brigade Brutinel. Montri a été tué par un éclat d’obus sur la route Arras-Cambrai, entre Haucourt et Villers-lès-Cagnicourt, le 2 septembre 1918, pendant la bataille de la ligne Quéant-Drocourt. Cette stèle est dans la parcelle 1 (la parcelle d’origine) du cimetière. Le fait qu’il y a deux noms sur les stèles représente probablement que la première parcelle (plot) était une fausse commune. Le cimetière a été agrandi après la guerre pour recevoir des morts de 1917 et 1918 retrouvés sur le champ de bataille de la région. (Photo Ph. Degroote, 18 mars 2022)

La stèle dans le cimetière Vis-en-Artois du lance-caporal Horace Wood du 8e bataillon canadien. Il a été tué pendant les combats pour le point-fort Ocean work, le 31 août 1918. Il partage sa stèle avec le soldat Samuel Ross, du 3e bataillon canadien, qui lui a été tué par un tir de fusil dans la tranchée Orix, le 30 août 1918. (Photo Ph. Degroote, 18 mars 2022)

La stèle du soldat L. Barraclough du Duke of Wellington’s Regiment (West Riding) dans la parcelle I (plot 1) du cimetière Vis-en-Artois, tué à Haucourt le 30 août 1918, possiblement à la ferme St-Servins. Il partage sa tombe avec le soldat H. Hiley du même régiment, tué le même jour. Les 55 Wellington inhumés dans la parcelle 1 du cimetière sont probablement les premières inhumations.
(Photo Ph. Degroote, 19 mars 2022)

La stèle du soldat R. W. Hall du Duke of Wellington’s, dans la parcelle I (plot 1) du cimetière Vis-en-Artois, tué à Haucourt le 31 août 1918, possiblement à la ferme St-Servins. Il partage sa tombe avec un inconnu du Seaforth. La date d’inhumation du 5 septembre du disparu représente certainement la date d’inhumation, et non de la mort. Ceci est un indice que le cimetière a été établi le 5 septembre 1918. J’ai compté neuf Seaforth disparus à Haucourt du 29 août au 1er septembre, 1918. Ce disparu est un des neufs. Notez les deux badges sur la tombe. (Photo Ph. Degroote, 19 mars 2022)

Une représentation d’une plaque qui sera inaugurée à Vis-en-Artois, avec les 350 noms des soldats canadiens tués sur le territoire de Vis-en-Artois. (Commune de Vis-en-Artois)

Panneau indicateur du parcours du souvenir, champ de bataille Vis-en-Artois-Chérisy. (Photo Ph. Degroote)